L’histoire des suites de Beau-Rivage Genève

Photo : @Adrian Ehrbar

Le majestueux hôtel Beau-Rivage Genève est habité d’une très riche histoire, tout comme ses somptueuses suites. Nommées d’après des personnalités bien connues d’un autre temps, la plupart d’entre elles dispose de sa petite anecdote qui retrace un moment clé de l’Histoire. Faisant encore rêver ses visiteurs et les emmenant voyager dans une autre époque, les suites de Beau-Rivage Genève sont promesse d’élégance et de confort absolus.

La Suite Sissi Terrace
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Photo : dr

L’Impératrice Élisabeth d’Autriche, reine de Hongrie, mieux connue sous le nom de Sissi l’Impératrice, aimait beaucoup séjourner à Genève en toute intimité, sous de nombreux noms inventés. Sa première visite à Beau-Rivage Genève remonte alors à l’année 1897. Lors d’un autre séjour à Beau-Rivage en septembre 1898, l’impératrice se promenait sur les quais de Genève en compagnie de la Comtesse Irma Stzaray, en direction du bateau. Au moment du départ, un inconnu s’approcha de l’impératrice, la frappa violemment et prit la fuite. Ce jour-là, l’Impératrice avait été sauvagement poignardée au cœur sur les quais de Genève. Elle fut transportée d’urgence par des bateliers dans sa suite à l’hôtel Beau-Rivage, où elle succomba à sa blessure peu de temps après. 

En hommage à cette tragédie et à cette grande dame, Beau-Rivage Genève nomma la suite qu’elle occupait alors en son nom, lieu où elle appréciait particulièrement son anonymat. Ornée de souvenirs précieux et de mobilier d’origine, la Suite Sissi Terrace est le témoin d’une tragédie, mais également d’une merveilleuse époque, symbole de romantisme, d’élégance et de sophistication.

Découvrez la Suite Sissi Terrace ici : https://www.beau-rivage.ch/fr/suite-sissi.html 

La suite Eleanor Roosevelt (Suite royale)
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En 1947, Beau-Rivage Genève est une fois encore impliqué dans un événement historique majeur en accueillant Eleanor Roosevelt, présidente du comité chargé d’élaborer la Déclaration universelle des droits de l’Homme pour l’Organisation des Nations Unies. La veuve de Franklin Roosevelt trouvera à Beau-Rivage la sérénité et l’inspiration nécessaires à la rédaction de ce texte fondateur du monde moderne.

Afin de marquer son passage à Genève d’une pierre blanche et de souligner son engagement citoyen, le BRG nomma la suite 101-102 au nom de la rayonnante Eleanor Roosevelt, qui deviendra la suite Royale la plus prestigieuse de l’établissement. 

https://www.beau-rivage.ch/fr/suite-royal.html

La Suite Henri Dunant
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Photo : dr

Le genevois Henri Dunant marqua lui aussi l’Histoire en fondant la Croix-Rouge en 1875. Beau-Rivage Genève avait à cœur de rendre hommage à ce grand humaniste visionnaire et philanthrope. Pour cette raison, l’hôtel lui dédia la magnifique suite Henri Dunant, 75m2 de finesse et de raffinement dans un confort exceptionnel, pour une immersion inspirante dans la symbolique de l’Histoire.

https://www.beau-rivage.ch/fr/suite-henri-dunant.html

La suite Corner Vue Lac – l’univers merveilleux du Maharadjah de Patiala 
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Photo : dr

Le Maharadjah de Patiala séjourna à l’hôtel Beau-Rivage en 1925, lors de sa participation à la 6e assemblée de la Société des nations, en tant que représentant des Indes. Lors de son passage à Genève, le Maharadjah fit grandement parler de lui. En effet, il était le premier indien à posséder une voiture et un avion. Il ne passait d’ailleurs pas inaperçu entre sa moustache distinctive et son goût prononcé pour les pierres précieuses. Au cours de son séjour, il fit d’ailleurs exécuter par Cartier une fabuleuse parure de lit comptant 2930 carats, un véritable bijou d’une valeur inestimable.

En souvenir de cette personnalité orientale et de son style de vie princier, Beau-Rivage Genève a imaginé une suite digne de son nom et de ses origines, plongeant son occupant dans l’univers merveilleux de l’âge d’or indien. 

https://www.beau-rivage.ch/fr/suite-corner-vue-lac.html

Retrouvez toutes les informations sur Beau-Rivage Genève sur le site internet : https://www.beau-rivage.ch/fr/experience.html 

À table avec Michel Roth

Une création culinaire de Michel Roth.
Crédit photo : Adrian Ehrbar

D’aussi loin qu’il puisse s’en souvenir, Michel Roth a toujours aimé mettre la main à la pâte en aidant à la préparation des repas familiaux. Son père, qui n’était pourtant pas cuisinier, l’observait évoluer dans cet élément et l’a encouragé à en faire son métier. Habité par cette passion depuis toujours, le chef étoilé est maintenant à la tête du restaurant Bayview à Genève, aux 18 points GaultMillau. Rencontre avec un passionné de la gastronomie suisse et française.

« J’aimais les odeurs, j’aimais faire plaisir en cuisinant, c’était une vocation mais je ne le savais pas encore. »

Michel Roth

Grandes Tables Suisses: Que cuisinez-vous durant ce confinement?

Michel Roth: La plupart du temps, je ne prévois pas à l’avance, j’aime être spontané! Je me rends au marché et je fais mes courses en me fiant à mon intuition et aux produits que j’y trouve. Cela peut être un bœuf bourguignon, une blanquette de veau, du poisson, une fricassée de volaille, des fruits de mer… Rien ne m’arrête, mise à part mon imagination! 

Bien que je mise sur des plats traditionnels, j’essaie toujours d’apporter ma petite touche personnelle, celle qui apportera une note particulière au repas. Il peut s’agir d’échalotes dans le bœuf bourguignon, ou encore quelques feuilles de verveine dans la blanquette de veau. J’essaie toujours de faire preuve de créativité et de créer une surprise gustative pour ma famille. Évidemment la présentation des assiettes est plus simple à la maison car je privilégie le côté convivial, mais le goût est là et c’est ce qui compte! 

GTS: Avez-vous une idée de recette à nous dévoiler que les lecteurs pourront réaliser facilement chez eux?

MR: Une recette toute simple que je réalise régulièrement est un œuf au plat revisité dans une tranche de pain de mie. Découpez la tranche de pain comme un anneau, avec un trou au milieu. Faites-la ensuite revenir dans une poêle avec du beurre, jusqu’à ce qu’elle soit croustillante et dorée des deux côtés. Pour terminer, cassez un œuf à l’intérieur, tout en veillant à garder le jaune liquide. 

Accompagnez votre œuf au plat d’une salade mêlée aromatisée d’une vinaigrette à l’huile de noix et relevez le tout d’une note fumée, comme par exemple des copeaux de viande des Grisons ou du jambon fumé, et le tour est joué! Une entrée bien présentée et très facile à réaliser.

GTS: Quel est le plat que vous vous réjouissez particulièrement de cuisiner lors de la réouverture du Bayview? 

MR: Je me réjouis de retourner en cuisine avec mon équipe et de pouvoir réaliser l’un de mes plats signature, qui est un grand classique du Bayview: la féra, jus de coquillage à la coriandre et petites ravioles à la tomme vaudoise. Il s’agit de l’une de mes créations que je réalise depuis mon arrivée et qui est l’un des plats favoris des clients fidèles de notre restaurant.

GTS: Vous êtes issu de la gastronomie française, y’a-t-il un plat suisse que vous aimez particulièrement revisiter et pourquoi? Comment le revisitez-vous? 

MR: J’aime beaucoup travailler avec le poisson, et particulièrement la perche. Je réalise régulièrement une recette de fish and chips gastronomiques, artichauts et fenouil, avec sa sauce persillée qui rappelle la traditionnelle sauce tartare.

Bar aux coquillages, coulis de cresson, agnoletti ˆ la brousse, tartare dÕhuitres et caviar

GTS: La crise sanitaire que nous vivons vous fait-t-elle imaginer une nouvelle manière de «consommer» la cuisine, ou de la concevoir?

MR: Si je devais faire une synthèse de la situation, je dirais qu’il y a un côté tout à fait positif à tout cela. En effet, les restrictions sanitaires nous poussent à consommer de manière locale et à favoriser la proximité, à travailler avec ce que nous avons autour de nous selon les saisons. Nous sommes donc contraints de retourner à une cuisine plus authentique et simple. Récemment, nous étions déjà sur la bonne voie puisque la tendance était à une consommation consciente et responsable. La pandémie que nous traversons encourage encore cette bonne conduite et nous pousse à respecter davantage les animaux, les fournisseurs, les produits.

Nous avons l’habitude de tout faire trop vite, de manger trop vite. La situation actuelle nous oblige à ralentir notre rythme de vie et à prendre le temps de déguster, de sentir et de savourer. C’est l’occasion de réapprendre à apprécier la bonne cuisine! 

« La situation actuelle nous oblige à ralentir notre rythme de vie et à prendre le temps de déguster, de sentir et de savourer. »

Michel Roth

GTS: Vous êtes une vraie source d’inspiration dans le monde de la gastronomie. Quel conseil aimeriez-vous donner aux jeunes restaurateurs en cette période particulière?

MR: Les jeunes sont relativement démoralisés par cette situation et il est de notre devoir de faire le lien entre les générations et d’être présents pour eux. J’ai moi-même réalisé plusieurs vidéos pour des écoles hôtelières, pour les aider et leur montrer mon soutien, mais également pour continuer de leur transmettre mes connaissances et mon expérience. 

GTS: Vous avez été décoré de nombreuses récompenses, telles que le Bocuse d’or, Meilleur Ouvrier de France ou encore Chevalier de l’Ordre de la Légion d’Honneur. En a-t-il une qui vous a particulièrement touché, et pour quelle raison? 

MR: Chacune d’entre elles a son histoire et sa particularité qui me ramène à un moment spécial de mon parcours. Si je devais en choisir une, je dirais le Bocuse d’Or, qui est l’équivalent des championnats du monde de la gastronomie.

À cette époque, je représentais la France face à vingt-quatre autres pays. J’avais été choisi pour représenter mon pays, je le voyais donc comme un devoir envers ma patrie. Il y a un tel engouement pendant ces quelques jours et tellement de rencontres instructives. La cerise sur le gâteau a été de gagner le Bocuse d’Or, mais rien que le fait d’avoir eu la chance d’y participer a été une expérience très enrichissante et émouvante.

GTS: Finalement, quel est le premier restaurant où vous retournerez déguster un bon plat lorsque la situation sera rétablie?

MR: J’ai envie d’aller voir tout le monde! Tous les restaurateurs se réjouissent de servir leurs meilleurs plats à leurs clients, et j’ai envie de leur montrer mon soutien en allant leur rendre visite.

Mais si je devais en choisir un en priorité, j’irai probablement chez mes amis Corinne et Jean-Marc Bessire au «Cigalon» à Genève (1 étoile Michelin et 17 points au GaultMillau). C’est un véritable temple du poisson, où les produits marins sont sublimés à merveille! Je m’y rends régulièrement car j’apprécie particulièrement l’esprit de famille qui y règne et la cuisine tout en finesse et en précision de Jean-Marc.

Retrouvez toutes les informations sur le «Bayview» sur le site internet: https://www.restaurantbayview.com/

Beau-Rivage Genève @Home

Pour parer à la situation sanitaire, Beau-Rivage Genève a souhaité proposer une offre gastronomique complète intitulée Beau-Rivage @Home afin de continuer à offrir des moments gourmands à chacun. Rencontre avec le Directeur Général, Lars Wagner, qui nous en dit plus!

Le Directeur Général du Beau-Rivage Genève, Lars Wagner.

Les Grandes Tables de Suisse: Désormais, il est possible de cuisiner avec le chef Dominique Gauthier depuis chez nous… Dites-nous-en plus!

Lars Wagner: Lors de cette période particulière nous avons dû devenir créatifs pour continuer à conserver un contact avec nos clients durant la fermeture des restaurants. Comme les vidéo-recettes du chef Dominique Gauthier depuis chez lui avaient du succès sur les réseaux sociaux lors du premier semi-confinement, nous avons donc pensé à un concept ZOOM COOKING avec lui. Il s’agit de séances exclusives avec le chef via la plateforme Zoom. En parallèle, nous livrons tous les ingrédients et fiches recettes le jour même au domicile des participants. Un maximum de 6 personnes présentes durant le zoom permet de garantir une expérience personnalisée. Il reste encore quelques places disponibles, ne manquez pas cette expérience pour devenir un vrai chef à la maison! Les dates sont les 16, 17 et 18 décembre, de 16 à 18 heures. Les cours se déroulent en français uniquement. 

Les recettes préparées durant la séance sont: 

  • Les coquilles Saint Jacques poêlées, jus d’agrumes et basilic, tomates séchées et olives taggiasche.
  • La volaille truffée cuite en ballotine, cardons de Genève et butternut.

Le prix pour y participer incluant les produits livrés au préalable est de CHF195 pour une personne et CHF245 pour deux personnes.

LGTDS: Vous avez également collaboré avec le spécialiste viennois Sacher… Que pouvons-nous offrir ou s’offrir de chez Sacher au sein de votre établissement?

LW: Avez-vous déjà goûté l’incontournable Original Sacher-Torte? Pour moi, c’est un must! J’en ai personnellement acheté déjà plusieurs pour ma famille qui m’en redemande encore et encore… Nos premières deux livraisons venant direct de Vienne ont été vendues si rapidement (en deux jours!) que nous avons décidé de prolonger notre offre Café Sacher avec un arrivage par semaine jusqu’au 24 décembre 2020! Le succès de ces douceurs est garanti par la recette secrète transmise de génération en génération… Les délices de Vienne que nous offrons sont l’Original Sacher Cube boîte de 8 pièces, l’Original Sacher-Torte de 6 parts ainsi que l’Original Sacher-Torte de 8 parts. Les tarifs diffèrent, selon la taille, de 39, 49 à 59 CHF.

LGTDS: Dominique Gauthier, le chef du «Chat-Botté», propose également à l’emporter différents types de menus dont «les marmites» qui sont des recettes de grand-mère revisitées. Quelle est votre marmite préférée?

LW: Celle que j’ai préférée est la Marmite de veau suisse à la crème de gruyère et agrumes de Niels Rodin, comme une blanquette, champignons bruns et fregola sarda. Délicieux!

LGTDS: Les Marmites sont des plats à savourer plutôt le soir, mais pour le midi, vous suggérez aussi le pop menu. Combien de temps à l’avance doit-on s’y prendre pour réserver l’un de ces plats?

LW: Nous suggérons au moins une heure à l’avance pour un pick-up à l’hôtel. Il y a également la possibilité de livraison en ville de Genève avec un taxi (à la charge du client). Le paiement se fait directement avec le chauffeur du taxi.

LGTDS: Beau-Rivage Genève n’avait pas envie d’oublier les fêtes. Afin de parer à ceci, vous avez également une offre de foie gras…

LW: Pour vos fêtes de fin d’année, le chef Dominique Gauthier a préparé des douceurs gourmandes à emporter chez vous, de l’entrée au dessert. A partir du 15 décembre jusqu’au 31 décembre, retrouvez une édition limitée de la Bûche Beau-Rivage imaginée par notre talentueux chef pâtissier Yohan Coiffard, pour 6 à 8 personnes (CHF 65). Le foie gras de Dominique Gauthier est également disponible pour 250 g (CHF 50) ou pour 500 g (CHF 100). Toutes les commandes doivent être passées 72 heures à l’avance.

La bûche de Noël du Beau-Rivage Genève

LGTDS: Finalement, les cadeaux de Noël ne sont pas en reste, car votre boutique cadeau online Beau-Rivage @Home reste ouverte. Quel cadeau aimeriez-vous qu’on glisse sous le sapin à votre attention?

LW: Je serai comblé si l’on pouvait glisser sous le sapin un «Dîner de rêve: 8 services au Chat-Botté» (CHF 490 pour 2 personnes) ainsi qu’une sélection de vins exceptionnels choisis par notre chef sommelier Mikaël Grou… je ne suis pas trop demandeur j’espère? De toute façon, ces cadeaux se partagent!)

Je vous souhaite de Bonnes Fêtes et toute l’équipe espère que vous allez célébrer celles-ci avec nous!

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site: https://www.beau-rivage.ch/

Les mille et une façons de déguster la cuisine de Michel Roth

En attendant de ravir les papilles des convives au sein du restaurant Bayview de l’Hôtel Président Wilson, le chef toujours à l’affût d’idées gourmandes propose différentes formules qui satisferont les petites comme les grandes faims. Rencontre avec un cuisinier aussi talentueux qu’humble.

Les Grandes Tables de Suisse: Michel Roth, le confinement a été vu de manière négative par certains et positive par d’autres qui ont redoublé de créativité. Comment avez-vous vécu cette période?

Michel Roth: Pour être totalement honnête, les débuts ont été un peu difficiles au vu de cette situation exceptionnelle. Mais comme je suis de nature positive, j’ai rapidement repris le dessus. J’en ai profité pour cuisiner, faire des essais, faire à manger pour ma femme qui était ravie (rires) et travailler sur la carte d’automne. Cette situation nous a aussi à tous permis de comprendre l’importance et la valeur des produits locaux, souvent délaissés.

LGTDS: Cette période a aussi été celle de la finale de l’émission «Top Chef» sur M6. Vous avez participé à plusieurs concours en tant que guest, est-ce que ces shows vous inspirent?

MR: C’est amusant que vous en parliez, car je n’avais plus le temps de m’arrêter sur cette émission et j’ai pu à nouveau la regarder! Je trouve que ces émissions culinaires sont très positives pour les jeunes qui cherchent une orientation. Elles sont également très intéressantes, car la personnalité et le parcours de chaque futur chef se dessine à travers son dressage, sa créativité, son parcours. J’avais en cuisine au Bayview un ancien participant qui avait terminé en demi-finale. Ce type de show lui avait permis de se renforcer, de se découvrir, mais aussi d’acquérir une meilleure confiance en lui.

LGTDS: …vous êtes un chef distingué par de nombreux prix et la qualité de votre cuisine n’est plus à prouver. Quel conseil pourriez-vous donner aux jeunes talents?

MR: Aujourd’hui la nouvelle génération est à la fois fougueuse, audacieuse et foisonne d’idées, ce qui est très bien! Mon conseil serait de savoir faire preuve de patience et de régularité. L’expérience s’apprend et se construit en passant par plusieurs étapes en cuisine. Quant à la régularité, elle est la preuve d’un véritable savoir-faire.

LGTDS: Finalement, comment décririez-vous votre cuisine?

MR: Ce que je souhaite transmettre, c’est de l’émotion. J’aime voir les gens se régaler! Selon moi ce sont les gens qui dégustent vos plats qui peuvent définir votre cuisine. Je dirai donc qu’elle est à la fois traditionnelle et contemporaine!

Comme un air de vacances…

Des moments de partage en famille ou entre amis à l’espace paradisiaque «Poolgarden» de l’Hôtel Président Wilson, quoi de mieux pour savourer pleinement son temps libre? Les amateurs de brunch seront ravis du retour des brunchs signés du chef Michel Roth! Proposée sous forme d’alternative au traditionnel buffet, cette formule ne décevra pas les gourmands de par la générosité ainsi que la diversité de produits proposés: entrées froides, poisson, viande… Mais aussi les fameux desserts du chef pâtissier Didier Steudler n’attendent qu’à être savourés! Grande nouveauté: le brunch se double puisqu’il sera autant proposé le samedi que le dimanche! Servis en terrasse entourant la fameuse piscine chauffée, les petits et grands auront l’impression de vacances avant l’heure! En cas de mauvais temps, le glamour Glow bar ouvrira ses portes au brunch.

À noter que l’espace Poolgarden sera ouvert tout l’été! Pour celles et ceux qui préfèrent manger léger, le bar et le restaurant offrant une vue imprenable sur le lac Léman proposeront tous les jours entre 10h et 22h une carte de restauration aux couleurs de l’établissement composée de mezzés libanais, de tartares et poissons, de quelques plats japonisants sans oublier les grands classiques de l’hôtel. Une pause avant de profiter de la piscine de l’hôtel ou tout simplement avant une flânerie en ville.

Tarifs et informations sur: https://www.terrassepoolgarden.com/fr/brunch